Bonjour à tous !
Le soleil brille toujours et la chaleur est aussi la c'est pas génial ! je vous laisser avec un autre métier ancien je vous souhaite à tous de passer un agréable mercredi je vous embrasse tous et à très bientôt gros bisous à tous.
LE PARCHEMINIER
Le parcheminier est une personne qui prépare et vend les parchemins, ces qualités doivent êtres l’habilité de ces mains et un grand intérêt pour les matériaux de cuirs.
Son activité comprend des contraintes c’est-à-dire que dans les ateliers il y à des odeurs nauséabondes provenant des cuves, c’est un travail difficile et désagréable. Le parchemin vient de pergamena désignant une peau fabriquée à Pergame. Il est fabriqué à partir de peaux animales comme la chèvre, le mouton ou le veau, ce sont les plus couramment utilisées.
Pour la fabrication du parchemin les outils nécessaires sont une pierre ou un os, une cuve, un grattoir et un cadre. On commence par séparées les carcasses d’animaux à l’abattoir, les peaux fraîches ont séchées afin de permettre leur conservation. Ces peaux, appelées à ce stade peaux brutes ou peaux en poil, sont ensuite emmenées vers les parchemineries. La peau est immergées dans de l’eau puis dans de l’eau salées pendant 48 heures cela s’appelle le reverdissage.Ensuite elles étaient trempées dans la chaux c’est l’enchaucenage, puis tendues sur un cadre. Pendant qu’elles séchaient, on les grattait vigoureusement pour éliminer les poils et les tissus graisseux c’est l’ébourrage. Les peaux ainsi débarrassées de leurs poils elles sont plongées dans des cuves remplies d’eau et de chaux cela permet de faire gonfler les fibres et de dégraisser la peau, c’est le pelanage. Les peaux devaient être soigneusement nettoyées pour deviner souples et inodores.
De nos jours ce métier existe encore dans la catégorie des métiers des Arts, considérés comme un métier de luxe car la matière est onéreuse. Il n’existe pas de formation spécifique pour ce métier mais il y à quand même des organismes qui propose d’approfondir ces connaissances du cuir comme le CTC.
Bonjour à tous !
je suis ravie de voir que mes billets vous plaisent autant
il fait toujours aussi beau je vous souhaite à tous une bonne journée et vous dit à très bientôt gros bisous à tous et pour aujourd'hui voici donc un autre ancien métier
Le vitrier
C'est un petit métier , le vitrier déambulait dans les rues en crient "vi-trier ! viiiiiitrier.
Il portait les vitres sur sont dos à l'aide d'un pochoir (cela présentait une charge assez importante) ses outils consistaient en un marteau (qui lui permettait de clouer ou d'arracher les pointes ainsi que de demastiquer grâce à son manche particulier), un diamant pour découper le verre ainsi qu'un couteau à mastiquer, du mastic et quelques pointes.
Pour le protéger de la poussière et des salissures, il endossait la "blobo", la blouse, de couleur bleue ou noire qui était similaire à celle du charretier.
Figure
1. nathalie21 le 28-03-2012 à 13:11:22 (site)
Kikou Holly!!!!!!
Je passe toujours avec un bo soleil,on va encore en profiter!!!! belle aprés-midi de douceur....Bibi doux....Nath & bisounours
de ta fidélitée & ta gentillesse
Bonjour à tous !
j'ai passer un super bon week-end et ma p'tite flo a fini sont théatre samedi soir c'était la derniere il on fêter cela ca c'est terminer bien tard mais bon pour une fois nous avons rien dit elle c'est hyper bien amuser et en a bien profiter et il fait toujours aussi beau chouette !
je vais vous laisser avec un très ancien métier que je connaissait pas je vous souhaite à tous de passer une agréable journée je vous embrasses tous et à très bientôt gros bisous à tous.
Les baigneurs-étuvistes, c'est-à-dire les tenanciers
de maisons de bains, étaient un des plus anciens métiers de Paris, déjà cité dans le Livre des Métiers d'Étienne.
Boileau Les bains étaient fort répandus au Moyen-Age ; plusieurs rues de Paris ont longtemps conservé les noms des vieilles étuves, Étuves Saint-Honoré, Étuves Saint-Martin ou rue des Écouffes, soit rue des Étuves.
Les bains se prenaient dans de grands baquets à une
ou deux places. Les étuves étaient sèches ou humides, le choix entre le sauna ou le hammam !
Le prévôt fixa d'abord des jours réservés aux hommes, le mardi et le jeudi ; les femmes pouvaient s'y rendre les lundis et mercredis. Cette réglementation était rarement observée et les étuves, souvent soupçonnées de « bordelerie » inquiétaient les honnêtes gens ; le prévôt veillait au respect des bonnes mœurs.
Pour appeler les clients, les étuvistes parcouraient au
soleil levant les ruelles de la ville, en criant « au bain
chaud ! », et c'était le moment de s'y rendre.
En 1371, sur les plaintes de divers usagers, le prévôt
Hugues Aubriot fixe strictement les prix :
- Une étuve, sans bain, quatre deniers et 1 d. pour le
drap pour se recouvrir.
- Une étuve et un bain, huit deniers.
- Si deux personnes sont ensemble, douze deniers pour étuves et bains.
1. nathalie21 le 27-03-2012 à 13:17:53 (site)
Kikou ma douce Holly!!!!!!
C'est toujours avec un bo soleil ke je passe te souhaiter une belle aprés-midi & profites bien de ce bo ciel bleu.....Bibi doux.....Nath & bisounours
Bonjour à tous !
houai c'est super il fait encore super beau et chaud j'adore franchement c'est hyper agréable un temps comme celui la j'ai même sortie mes pantacours mais je vais pas tout sortie mes vetements léger car on ces jamais.
se soir ma p'tite flo remonte sur scene pour ça piece de théatre aisni que demain et après ces fini en attendant une autre ca lui plait beaucoup et en + elle a pas du tout le trac sa serait moi je serait morte de trouille je sais pas de qui elle tient car mon cheri aussi serait comme moi la trouille au ventre et incapable de parler enfin temps mieux pour elle et elle adorent ça.
je vais donc vous souhaiter à tous de passer un super et agréable week-end je vous embrasse tous et vous laisser avec un vieux métier gros bisous à tous.
BLANCHISSEUSE : Des lavandières qui battent le linge à la rivière aux ouvrières des grands centres de blanchissage du début du XXème siècle, la profession évolue considérablement. Métier éprouvant et très féminisé, le blanchissage du linge est toujours resté source de grand battage et de commérages… |
"Propre le linge, propre le linge !" Au Moyen ge, au sein de la bourgeoisie parisienne et dans toutes les communautés, notamment religieuses, le linge est lavé à domicile, avec moult soins. Des marchands ambulants vendent des cendres pour la lessive. Au XVIIème siècle, les lavandières vont battre à la rivière. En lavant le linge, elles contaminent l’eau. Aussi, pour protéger la santé publique, des ordonnances limitent-elles les lieux de lavage. Petit à petit, le métier s’organise et les premiers entrepreneurs s’installent, notamment sur les berges de la Seine à Paris. Moyennant un salaire mensuel, ils blanchissent chaque jour le linge des grandes maisons qui les emploient. D’autre part, dès le début du XVIIIème siècle, les blanchisseuses disposent de petits bateaux et l’obligation de laver dans des bateaux spéciaux s’étend. On construit alors des bateaux selles, plats et couverts, dont les bords sont garnis de tablettes. Les propriétaires des bateaux perçoivent une taxe de quatre sous par personne, plus un sou de location pour l’indispensable baquet. Le développement de l’hygiène et des soins de propreté, la réduction du temps de travail (loi du 30 mars 1900) entraînent un énorme développement de la profession. Ainsi, au début du XXème siècle, l’entretien du linge de la capitale occupe 35 000 personnes à Paris et 25 000 en banlieue, dont une majorité de femmes. Les ateliers de petite blanchisserie sont insalubres, au rez-de-chaussée, dans des ruelles où l’air ne pénètre jamais. Les buanderies sont uniquement aérées par la porte, le linge blanchi bouchant les fenêtres. La vapeur qui se dégage des fers chauffés au charbon de bois et au gaz pollue l’air de ces bouges étroits et encombrés. La législation visant à améliorer les conditions de travail reste mal appliquée. Les ouvrières blanchisseuses, à l’exception de celles employées dans la grande industrie et les vastes établissements, travaillent en général pour deux ou trois patrons. Elles touchent un salaire, plus le droit au lavage gratuit de leur linge personnel et de celui de leur famille. Les hommes, très minoritaires, sont presque exclusivement employés comme garçons de lavoir, livreurs ou attachés à des travaux mécaniques trop durs pour les femmes. Une profession qui mouille. Au XIXème siècle, l’alcoolisme constitue un grand fléau : les trois quarts des ouvriers absorbent régulièrement apéritifs, rhum du matin et absinthe. De nombreux cafés s’installent dans les grands centres de blanchissage. La profession est par ailleurs éprouvante. "Toute la journée dans un baquet jusqu’à mi-corps, à la pluie, à la neige, avec le vent qui vous coupe la figure ; quand il gèle, c’est tout de même, il faut laver... On a ses jupes toutes mouillées dessus et dessous" écrit V. Hugo dans Les misérables. La tuberculose est responsable de plus de la moitié des décès chez les blanchisseuses et repasseuses contaminées par le linge, rarement désinfecté à son arrivée. Les lésions de la peau, dues à l’emploi de lessives corrosives, les lombalgies, les varices, les accouchements prématurés sont le lot commun de ces femmes qui portent des charges trop lourdes et travaillent sans cesse debout. |
1. nathalie21 le 26-03-2012 à 13:57:17 (site)
Kikou Holly!!!!!
En ce Lundi ensoleilé je passe te souhaiter une belle aprés-midi ainsi k'une douce semaine remplie de soleil... Bibi doux....Nath & bisounours
Bonjour à tous !
Ha comme c'est agréable d'avoir beau temps les petits oiseaux chantent d'ailleur en parlant de oiseaux je croit que vais pas tarder a revoir mes hirondelles qui reviennent tout les ans faire leurs petits remarquer ils sont bien chez nous ils sont loger et nourrir, graduitement quoi que ils doivent surment "chasser des petits insecte" donc en quelques sorte on se rend service on les loges gracieusement et en echange ils nous debarasses des insectes pas mal non comme compromis !
Je vais vous souhaiter à tous de passer une bonne journée je vous embrasse tous et je vous laisser avec un autre ancien métier qui est
LE SABOTIER :
(mon parrrain qui avait était en hollande n'en a offert quand j'était plus jeune je l'ai est mis et c'est vrai que l'on était super bien dedans mais maintenant je n'en sert comme déco ils sont super beau je peut pas mettre de photos car ils sont chez ma maman une prochaine fois)
Anciennement, les sabotiers étaient installés dans les régions où il y avait des forêts et des bois. La difficulté de transport de la matière première, le bois, obligeait le sabotier à s’installer avec sa famille dans une hutte qu’il construisait aux abords de la forêt.
Plus tard, l’usage du sabot se généralisant, ils s’installèrent dans les villages. Généralement, le sabotier abattait et débitait lui-même son bois. Il s’agissait le plus souvent de bouleau ou de saule, mais parfois d’autres bois étaient utilisés tels: l’orme, l’acacia, le hêtre. Le peuplier était également utilisé pour les sabots des marins car il évitait de glisser sur les ponts des navires souvent mouillés. Le chêne, le frêne étaient proscrits car beaucoup trop lourds et trop durs, ils risquaient de blesser le pied.
Lorsque les bûches étaient débitées, le travail du sabotier proprement dit commençait. Tout d’abord, il dégrossissait le bloc de bois à la hache et à l’herminette. Ensuite, à l’aide du paroir (lame tranchante de +/- 80cm fixée à une extrémité sur un bloc de bois servant d’établi et munie de l’autre côté d’une poignée) il donnait la forme extérieure définitive au sabot. Les sabots étaient toujours travaillés par paires afin de respecter la forme du pied gauche et du pied droit correpondant. Ensuite la paire de sabots ébauchée extérieurement était calée sur le banc de sabotier (constitué d’un tronc dans lequel on avait pratiqué une large encoche) afin d’être creusée à l’aide de vrilles et de cuillers. La cuiller est une sorte de vrille de 40cm terminée par une cuiller aux bords tranchants permettant d’évider le sabot. Pour finir le sabot, celui-ci était gratté pour faire disparaître les coups de paroir et obtenir une surface bien lisse.Le Métier de Sabotier était souvent un travail de tradition, on était sabotier de père en fils. Dans l’entreprise, l’apprenti commençait souvent par creuser les sabots avant de devenir lui-même sabotier à part entière. Dans certaines régions, le sabot fut longtemps l’unique chaussure et procurait du travail à beaucoup de monde quand on sait qu’un paysan utilisait quatre à cinq paires par an.
Puis, avec l’avènement de la mécanisation, les tracteurs, les bottes remplacèrent le sabot. Aujourd’hui, quelques artisans perpétuent encore la tradition en fabriquant sur les foires artisanales des sabots à la main mais ceux-ci, ne sont plus guère utilisés sauf dans le folkore ou en décoration.
1. 472481 le 22-03-2012 à 16:06:19
Bonjour Holly,
c'était un bien jolie métier dommage que cela ce perde que beaucoup de métier qui ont disparue.
Merci pour ce jolie billet.
Je te souhaite une agréable après midi.
Gros bisous affectueux Nanou
2. nathalie21 le 23-03-2012 à 13:56:50 (site)
Kikou ma douce Holly!!!!!!
C'est avec un bo soleil ke je passe te souhaiter une belle aprés-midi remplie de douceurs.....
Encore un métier ki n'existe plus,komme encore beaucoups d'otres.....
Pleins de bibis doux....Nath & bisounours
Commentaires
1. nathalie21 le 29-03-2012 à 13:34:45 (site)
Kikou Holly!!!!!!
Je passe avec notre ami le soleil te souhaiter une belle aprés-midi de douceurs!!!!!!
pleins de bibis doux....Nath & bisounours