Bonjour à tous !
j'ai passer un agréable long week-end de paques les filles ont était + que gater elle on eu des chocolats bien sur mais aussi des vetements, chaussures.
et nous aussi on a était bien gater.
puis après dimanche après-midi nous sommes aller faire un tour dans une brocante de village houai bas ça n'a rien a voir avec ceux qui sont vers chez ma maman içi elle sont hyper NUL et en + ils vendent super cher la seule choses que j'ai acheter c'est des fraisiers la dame l'est vendait 0,50 la barquette et 4,50 les 10 et bien j'en ai pris 10 la ça vaut le cout c'est hyper interresant il y avait que ça je vous rassure a un moment donner nous avions vue un petit bureau oui-oui il était pas vraiment neuf pas ma user d'ailleur juju était ok pour l'avoir mais quand on a demander le prix houla merci au revoir 15 euros heu franchement il les valait pas vraiment pas chez ma maman on l'aurait eu pour beaucoup moins cher non franchement je prefer aller faire les brochante vers chez ma maman c'est beaucoup + interressant et surtout il y a des choses vraiment belle.
par chez nous tout est vieux c'est bon qu'a aller a la poubelle voilà je vous souhaiter a tous de passer une agréable journée je vous embrasse tous et à très bientot je part en vous laissant avec un autre vieux métier gros bisous à tous
LE CLOUTIER
Dans l’ancienne France, il y avait deux sortes de cloutiers, les cloutiers d’épingles et les cloutiers tout court.
Les premiers faisaient partie de la corporation des épingliers-aiguilletiers ; les seconds fabriquaient et vendaient des clous en qualité de membres de la communauté des cloutiers-lormiers-étameurs-ferronniers. Tel est du moins le nom que portait au dix-huitième siècle cette réunion de métiers qui, bien que distincts à l’origine, avaient fini par n’en plus former qu’un seul, tant à cause de l’analogie de leurs produits que de l’importance restreinte de leur commerce.
Au treizième siècle, les cloutiers s’intitulent « feiseurs de claus pour atachier boucles, mordants et membres sur courroies. » Leurs attributions étaient donc fort limitées car il va sans dire que ces beaux échantillons de clous, de grandes dimensions, en fer ciselé, repoussé et souvent étamé, que nous a laissés le moyen âge et dont on peut voir un grand nombre encore en place aux portes de nos anciennes églises, n’étaient point l’oeuvre des cloutiers ; les forgerons, les « fèvres », comme on disait alors, les serruriers, les fondeurs, fabriquaient seuls des pièces de cette dimension.
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Les cloutiers de Paris, d’après les Statuts d’Étienne Boileau, pouvaient avoir autant d’ouvriers que bon leur semblait, mais il ne leur était permis de prendre qu’un seul apprenti à la fois.
Ces règlements nous apprennent qu’il y avait aussi des cloutières, car il y est dit que « se aucun vallet du mestier se marie, il ne puet mettre sa fame au mestier devant qu’il ait son mestier tenu un an et un jour. » Dans les autres corps de métiers, nous trouvons bien des femmes tenant boutique, mais en général ce n’est que dans le cas où, le mari venant à décéder, il est permis à la veuve, en s’astreignant à certaines formalités, de continuer le métier.
L’apprentissage durait six ou huit ans. Passé ce temps, l’apprenti était reçu ouvrier, puis maître. Une clause assez intéressante est celle qui permet à l’ouvrier de travailler dehors pour le public quand le maître n’a pas d’ouvrage à lui donner.
Les ouvriers possédaient donc comme un droit ce qui dans les autres métiers n’était considéré que comme une licence. Il s’établissait de la sorte une espèce de concurrence entre le maître et l’ouvrier, circonstance qui devait souvent permettre à ce dernier d’ouvrir boutique pour son propre compte bien plus tôt que cela ne se pratiquait dans les autres métiers. Toutefois, les cloutiers ne furent jamais fort nombreux : on en comptait dix-neuf à Paris en 1292, et vingt en 1300.
Les statuts des cloutiers-épingliers étaient, au treizième siècle, à peu près semblables à ceux des cloutiers : même nombre d’apprentis, même durée de l’apprentissage, dont le contrat devait être passé en présence de deux maîtres au moins. Deux prud’hommes de la communauté avaient la surveillance des ateliers et devaient veiller à l’instruction des apprentis ainsi qu’à la bonne exécution des travaux.
Épingliers et cloutiers devaient le guet au roi ; mais, en revanche, ils étaient exempts de l’obligation de porter leurs produits au marché à certains jours de la semaine, ainsi que cela se pratiquait dans plusieurs métiers.
Les étrangers, après avoir fait preuve de leur savoir devant un certain nombre de maîtres choisis à cet effet, étaient admis à exercer librement.
Dans les statuts des cloutiers de Rouen, qui datent de 1501, nous trouvons quelques modifications importantes. Les règlements du treizième siècle, pour Paris, ne donnent que peu de renseignements sur l’organisation de la corporation ; ici, au contraire, nous sommes en face d’une communauté régulièrement administrée par trois gardes élus par les maîtres, rééligibles de trois ans en trois ans. L’apprentissage ne dure que trois ans au bout desquels l’apprenti fait un chef-d’oeuvre au domicile de l’un des gardes. Chacun doit payer dix sous tournois en entrant dans la corporation : cinq aux gardes, cinq à la confrérie de Sainte-Anne, fondée en l’église des Augustins de Rouen.
Ces mêmes statuts donnent une foule de renseignements curieux sur la forme, la dimension et le poids des clous, dont le millier doit peser un certain poids fixé d’avance.
Disons maintenant quelques mots de la manière dont la corporation était organisée quand elle fut supprimée à la révolution. Quatre jurés régissaient la communauté. Deux d’entre eux étaient réélus chaque année, et choisis l’un parmi les anciens, l’autre parmi les nouveaux maîtres. Le nombre des apprentis avait été porté à deux et le nombre des années d’apprentissage réduit à cinq. Le compagnonnage durait deux ans pour les ouvriers de Paris, trois ans pour ceux de province. Le chef-d’oeuvre exécuté au bout de ces sept ou huit années d’études donnait le droit d’exercer librement le métier.
Bonjour à tous !
Et oui un grand week-end s'annonce j'espere qu'il fera beau car pour aller chercher les oeufs de paques sous la pluie c'est pas vraiment génial je vous souhaite donc à tous de passer un agréable week-end j'ai ma maman qui vient à la maison et j'ai encore pas mal de choses a faire je vous embrasse tous et vous dit donc à très bientôt gros bisous à tous.
pour ce long week-end je vous laisser avec le jolie métier de dentelliere
En france, les dentellières sont très localisées. Citons tout d'abord Le Puy en Velay, tête de proue de la dentelle d'hier et d'aujourd'hui. Citons aussi la Normandie, Alençon bien sûr, mais aussi Caen. N'oublions pas non plus le Nord et le Pas-de-Calais avec Calais, Valenciennes, Caudry, Bailleul...
Le fil utilisé est du lin, de la laine, du chanvre ou quelquefois de la soie. Avant que les fils ne soient résistants, la dentellière travaillait à l'aiguille.Ou plutôt, l'outil devrait-on dire ; car en pratique, l'unique outil de la dentellière est le carreau, aussi appelé tambour ou métier. Pour être complètement précis, il faut y ajouter les épingles à tête, les fuseaux (aussi appelés broquelets à Valenciennes ou bloquets à Lille), le dessin de la dentelle et surtout les mains de la dentellière, l'élément le plus important
C'est au XVème siècle que l'on commence à voir apparaitre la dentelle au fuseau. Son origine serait italienne. L'activité de la dentelle se développe jusqu'en 1639, date à laquelle un édit en interdit le port. Heureusement cet édit sera annulé. L'activité reprend jusqu'à la Révolution, avec au passage la création des manufactures royales par Colbert.
Chaque région possède son point : d'Alençon en Normandie, de Valenciennes en Artois et en Flandre, d'Esprit au Puy.
Napoléon 1er, puis Napoléon III relanceront l'activité. En 1830, le système Leavers (du nom de son inventeur anglais) est adapté au métier Jacquard ; la production entame une étape industrielle très importante, notamment à Calais. En 1910, il y avait 2708 métiers occupants 32000 ouvriers et ouvrières à Calais. Les métiers mécaniques produisent une dentelle de qualité proche de celle faite au fuseau ; un label "Dentelle de Calais" en fait foi.
Aujourd'hui, la dentellière au fuseau revient sur le devant de la scène ; des écoles sont créées et des cours de dentelle donnés, notamment au Puy et à Bailleul. D'ailleurs, au Puy, on n'attend qu'une chose : que la loi de 1903 imposant l'enseignement de la dentelle à l'école soit appliquée
1. nathalie21 le 06-04-2012 à 19:01:51 (site)
Bonsoir ma douce amie!!!!!
Hé bien voila il est l'heures pour moi de te souhaiter un excellent week-end de pâques auprés de ceux ke tu aimes!!!!! espéront ke le temps serat au rendez-vous......
Je te dis a Mardi!!!!!
Bibi doux.....Nath & bisounours
(mange pas trop de chocolat car aprés bobos lol)
Bonjour à tous !
houai ! pas le temps c'est drolement rafraichie j'ai pas eu de pluie aujourd'hui un beau soleil comme même je vous laisse avec un autre vieux métier je vous embrasse tous et à très bientôt gros bisous à tous.
Le cabaretier
Tenancier d'un cabaret où l'on vendait le vin "à l'assiette", c'est-à-dire accompagné de nourriture.
Ce corps de métier remonte à 1587 lorsque le roi Henri III donna des règlements communs aux marchands de vin, aux taverniers, aux cabaretiers, et aux hôteliers.
Suivant un réglement de police du châtelet de Paris, du 30 Mars 1635, il est défendu aux taverniers, cabaretiers, logeurs de chambres garnies, & autres, de loger & de recevoir de jour ni de nuit aucunes personnes suspectes ni de mauvaises moeurs, de leur administrer aucuns vivres ni alimens.
A la différence des taverniers qui ne pouvaient vendre que du vin à emporter, les cabaretiers pouvaient vendre le vin au détail mais aussi donner à manger. À partir de 1680, une déclaration royale permit aux taverniers de vendre des viandes qui avaient été cuites à l'avance, ce privilège s'étendit aux marchands de vin.
En 1698, les taverniers purent faire rôtir les viandes mais sans avoir de cuisiniers à gages. Les charcutiers obtinrent l'interdiction pour les taverniers d'élever et de tuer des porcs. Il est à peine utile d'ajouter que cette disposition prohibitive s'appliquait également aux cabaretiers, dont toutes ces ordonnances ne faisaient certainement pas les affaires.
Pour être cabaretier, il fallait être catholique romain. Ils ne devaient recevoir personne chez eux le dimanche pendant les offices et les trois derniers jours de la semaine sainte. Aucune viande ne pouvait être vendue pendant le Carême et les jours maigres. Les officiers de police visitaient les boutiques pour s'assurer de l'exécution de ces règlements. En cas de contravention, les cabaretiers étaient passibles de fortes amendes voire de peines corporelles lors de récidive.
Toutes les ordonnances, et arrêtés de police considéraient les cabarets comme des lieux publics exclusivement ouverts pour la commodité des étrangers et d'où les habitants du lieu même devaient être exclus. Cette défense s'étendait surtout aux gens mariés ayant ménage et aux domestiques, mais cette prohibition excessive était à peu près sans effet. Il en fut presque de même de l'interdiction des jeux de hasard.
Les cabarets devaient être fermés de bonne heure, les heures variaient seulement selon les ville et les saisons. Mais un avis placardé par le lieutenant de police, tous les ans, au commencement de l'hiver, fixait souvent des limites moins étroites, et même on peut croire que bien des cabarets restaient ouverts une partie de la nuit.
Bien qu'à partir de 1695, on ordonna aux cabaretiers « de garnir leurs caves de toutes sortes de vin et d'en débiter au public à divers prix, bon vin et droit, loyal et marchand, sans estre mélangé, n'excédant le prix qui sera par nous mis d'année en année ; tous les cabaretiers seront tenus mettre une pancarte où ledit prix sera écrit, à peine de 400 livres parisis d'amende. », ils continuèrent à vendre parfois une boisson étrange où il n'entrait pas une goutte de jus de raisin : il était remplaçé par du bois de teinture et de la litharge.
1. 472481 le 04-04-2012 à 18:24:15
Bonsoir Holly,
chez moi aussi il fait gris mais pas de pluie surtout plus froid.
Je te souhaite une agréable soirée.
Gros bisous affectueux Nanou
2. nathalie21 le 06-04-2012 à 13:59:24 (site)
Kikou Holly!!!!!
Aujourd'hui le soleil est + présent ke les otres jours,enfin il osse se montrer lol belle aprés-midi remplie de douceurs.... Bibi doux....Nath & bisounours
Bonjour à tous !
comment aller vous ? moi je vais super bien j'ai passer un agréable week-end je suis aller chez ma maman il a fait super beau samedi nous sommes aller a une brocante de village et nous avons acheter pas mal de choses jouet,vetement et oui j'achete des vetements et des jouets dans les brocantes et j'en ai pas honte car il sont vraiment pas chers et ils sont même presque neuf parfois et pour les vetements c'est la même choses et puis quand on voit que les enfants grandissent super vite ca vaut franchement le cout et puis acheter du neuf de dit pas non mais par moment acheter de l'ocasse ça fait du bien au porte monnaie et on trouver des vetement super bien de marque même alors moi je dit que c'est super et puis ça nous fait sortie on se promene on adorent ça
donc voilà pour mon week-end je vous laisse avec un autre vieux métier je vous souhaite à tous de passer une agréable journée je vous embrasse tous et à très bientôt gros bisous à tous.
LES SCIEURS DE LONG
Les scieurs de long avaient un métier saisonnier et travaillaient toujours à deux. Dès l’automne, le scieur de long partait sur les routes établir sa loge dans une clairière, une simple baraque en planches qu’il recouvre de mottes de terre pour se préserver de l’humidité. Il y dispose un plateau en guise de table et assemble les bottes de paille pour constituer des lits.
Le scieur de long travaillait plusieurs espèces de bois suivant la demande des clients : le hêtre, l’orme, le chêne et le châtaignier. Ce dernier était surtout utilisé pour les charpentes notamment des fariniers car il avait la particularité d’éloigner les insectes. D’autre part, le cœur du tronc était apprécié pour sa solidité par les charrons qui l’utilisaient pour réaliser les limons (ossature des chariots).
Le premier travail des scieurs de long consistait souvent à équarrir les troncs abattus par les bûcherons. Pour cela, ils utilisaient la hache à peler. Ensuite, ils débitaient le tronc à l’aide du passe-partout, scie à deux poignées. Puis, le doleur traçait sur le tronc les lignes de coupe avec une simple corde trempée dans un mélange de cendres et d’eau qui laissait une trace noire sur l’arbre. Le tronc était alors hissé sur la chèvre. Il s’agissait d’une longue poutre qui repose à une de ses extrémités sur le sol et qui, de l’autre côté était surélevée d’environ 1,50 du sol par deux pieux solidement ancrés.
Le tronc estétait donc solidement attaché par une chaîne dépassant de moitié l’extrémité haute de la chèvre. Le chèvrier montait sur le tronc ainsi fixé avec la niargue (scie composée d’un cadre de 1m sur 1,60m au milieu duquel est fixée une lame) et commencait un long mouvement de va-et-vient, montant l’outil au-dessus de sa tête et le redescendant jusqu’à ses genoux, allant ainsi en reculant sur le tronc, guidé par le renardier, en bas. Le sciage se faisait dans le sens descendant et le renardier s’efforçait de respecter la ligne noire tracée sur le bois.
En fait, l’ouvrier du dessus ne faisait que remonter la scie. Le tronc était scié ainsi sur la moitié, on trinquait pour marquer la mi-temps, puis on déposait le tronc, on le retournait pour scier l’autre moitié. A deux centimètres de la fin, la coupe était arrêtée, les planches se séparaient d’elles-mêmes lorsque le tronc était jeté à terre. Le travail des scieurs de long était épuisant, et pour réparer leurs forces, ils mangeaient énormément de pain qu’ils trempaient dans une soupe épaisse.
Comme beaucoup d’autres métiers, l’industrialisation a fait disparaître les scieurs de long : ce fut d’abord l’apparition des scies mues par la vapeur, puis des scieries hydrauliques ou utilisant les moteurs thermiques ou électriques.
1. nathalie21 le 02-04-2012 à 14:00:06 (site)
Kikou ma douce Holly!!!!!
Je suis a 100% avec toi, c'est sure k'il ne veut pas avoire honte t'acheter sur les brocantes,moi ossi des fois c'est ce ke je fais, par exemple l'année derniére pour bisounours j'avais acheter 3 pyjamas sur le stande d'une dame... La on va pas tarder a aller de nouveau chiner dans les brocantes,moi j'aime bien!!!!!!
Belle aprés-midi & douce semaine ma douce amie!!!!
Pleins de bibis doux...Nath & bisounours
2. 472481 le 03-04-2012 à 11:02:27
Bonjour Holly,
me voici de retour après une dizaine de jours d'absence.
Je vois que tout vas bien chez toi c'est bien.
Je te souhaite une agréable journée, chez sous un temps bien gris.
Gros bisous affectueux Nanou
3. nathalie21 le 03-04-2012 à 13:34:22 (site)
Kikou ma douce Holly!!!!!
Hé bien voila le soleil est partie sniffff lol c'était trop bo pour k'il reste lol belle aprés-midi de mardi!!!!!pleins de bibis doux.....Nath & bisounours
4. nathalie21 le 04-04-2012 à 13:29:48 (site)
Kikou ma douce Holly!!!!!
Aujourd'hui temps pas terrible,gris & froid,j'ai resortie les pulls lol
belle aprés-midi avec tes filles!!!!
Bibi doux....Nath & bisounours
Bonjour à tous !
il fait toujours aussi beau et ça c'est vraiment agréable mais il parait que la semaine prochaine sa va changer j'espere que non enfin on vera bien aujourd'hui je vais vous faire découvrir un autre ancien métier je serait absente demain ainsi que tout le week-end je reviendrait lundi vouss refaire decouvrir d'autre métier je vous souhaite à tous de passer une agréable journée ainsi qu'un bon week-end je vous embrasse tous et vous dit donc à très très bientôt gros bisous à tous.
Le charron :
Le charron est un artisan estimé qui fabrique des charrettes et autres moyens de roulage, avec une spécialité : la fabrication et réparation des roues. C’est à son habileté et dextérité à fabriquer ces dernières et aux opérations particulières qu’elles entraînaient que le charron devait sa renommée.
Il participe également à la fabrication des chariots, fourgons, carrosses, mais son travail ne se limite qu’à la fabrication des trains et des roues. Son statut d’excellent ouvrier le plaçait au dessus des charpentiers et il n’est pas rare qu’il fasse tous les travaux de réparation et de couverture d’une maison.
Les charrons de Paris, dont le statut fut officiellement reconnu par Louis XIV en 1668, faisaient partie de la corporation des « charrons, carrossier, faiseurs et entrepreneurs de carrosses, coches, litières, brancards, calèches et autres attirails ». Leur métier était très encadré et les autres artisans travaillant le bois ne pouvaient s’approprier le travail du charron. « Défense aux tourneurs d’entreprendre sur l’art de charron ; ils feront seulement les pièces tournées… Défense aux bourreliers bâtiers de rien entreprendre du métier de charron. » Extrait des lettres patentes de Louis XIV confirmant les statuts des charrons de Paris en 50 articles en date du 14 mars 1668, enregistrées le 20 novembre de la même année.
Description du métier de charron
Le charron travail
ait essentiellement durant les périodes ou les travaux des champs étaient plus intense (labour, semailles, moisson…) : les chariots, charrettes ou autres charrues étaient mis à rude épreuve et les roues se brisaient plus qu’a l’accoutumée.
C’est pendant l’hiver et la saison creuse que le charron fabriquait les roues et divers éléments constituant une charrette. Il arpentait aussi les forêts pour y repérer les arbres dont il allait se servir les prochaines années.
Le charron, avant d’être un ouvrier hors pair, est tout d’abord un bon observateur. D’un seul coup d’oeil il savait juger si un arbre avait les qualités requises pour réaliser son ouvrage, arbre dont il choisissait l’essence en fonction des pièces à réaliser :
Les arbres repérés sont abattus en hiver, une fois les dernières montées de sèves faites. Ils sont ensuite débités, puis mis à sécher soit en planches soit en grumes pendant quatre ou cinq années, ce qui permettait d’éliminer le mauvais bois qui se fendait pendant ces années de séchage (le grume étant le tronc entier de l’arbre , servant pour toutes les parties sensibles de l’ouvrage, comme les roues ou les moyeux.)
C’est ici que l’art du charron prenait toute sa substance. Une fois les bois bien sec et rentrés, il commencait à les travailler et les tailler, mais toujours dans le coeur, pour qu’il n’y ait aucun aubier pouvant fausser la roue ou la fragiliser : dans la partie intérieure, les rais pouvaient le faire éclater, rendant le rai inutile ; à l’extérieur, celui-ci se tasserait et le pourtour de la roue ne serait plus circulaire.
Pour l’époque, l’aubier était « une couronne ou ceinture plus ou moins épaisse de bois blanc, imparfait, qui dans presque tous les arbres se distingue aisément du bois parfait qu’on appelle le coeur, par la différence de couleur et de sa dureté. Elle se trouve directement sous l’écorce et enveloppe le bois parfait, qui dans les arbres sains est à peu près tout de la même couleur, depuis la circonférence jusqu’au centre » (Encyclopédie de Diderot).
Le moyeu, quant à lui, était réalisé en un seul morceau, l’axe central et les logements servant a accueillir les raies étant réalisé avec des outils spéciaux et adaptés. Toutefois, la taille de ces logement suivait une règle bien précise et essentielle pour que le chariot puisse bien rouler et porter sa charge : ils n’étaient par percés perpendiculairement à l’axe du moyeu, mais avec une légère inclinaison. Cela donnait de la solidité à la roue et permettait à celle-ci d’éviter le déjantage, cette inclinaison est appelée l’écuanteur.
Le fondement de cette règle est simple : la traction de la charrette chargée engendre un effort dans l’essieu qui a tendance à chasser le moyeu vers l’extérieur. D’autres forces naissent alors dans les rais pour contrecarrer cet effort. Si les rais sont droites, elles ont tendances à être poussées vers l’extérieur et peuvent se déboîter de la roue et amener le déchaussement de celle-ci. Au contraire, si les rais sont légèrement inclinés vers l’extérieur, le moyeu, toujours chassé dans la même direction, provoque une force qui compresse les rais dans les logements de la roue : celle-ci ne se déchausse plus. Mathématiquement, l’écuanteur est tout simplement le sinus de l’angle formé par les rais et la verticale.
De plus, le charron taillait son moyeu de telle manière à lui donner une légère inclinaison par rapport à la route : le dévers. L’effet combiné du dévers et de l’écuanteur assistait les roues dans les mouvements de va-et-vient latéraux du chariot, provoqués par la démarche des bêtes attelées. Cet effet donnait une résistance accrue au chariot. Toutefois, les ouvrages de l’époque consultés ne font pas mention de cette notion de dévers. Il est donc fort probable que celle-ci soit apparue bien plus tard.
Une fois tous les éléments de la roue assemblés, une ultime opération était nécessaire pour que la roue soit totalement terminée, l’embattage (ou le frettage). L’embattage consiste à entourer la roue d’un ou de plusieurs morceaux de métal, pour donner à celle-ci solidité et cohésion. Le fer découpé en une ou plusieurs parties était chauffé au rouge à l’aide d’un brasier extérieur, que l’on entretenait jusqu’à obtention de la température souhaitée, ou plutôt de la dilatation souhaitée. Celui-ci était alors posé sur la jante, fixé et arrosé copieusement d’eau : sous l’effet du choc thermique, le fer se rétractait et resserrait la roue sur elle-même. La fixation du métal et les éventuels derniers coup de masse étaient alors donnés pour corriger les derniers défauts.
Cette opération devait se dérouler assez rapidement, d’une part pour éviter que le bois ne se consume sous l’effet de la chaleur, et d’autre part pour éviter que le métal ne refroidisse trop vite et soit mal ajusté à la jante. Si le cercle de métal était trop grand, la roue était mal serrée et se désolidarisait, s’il était trop court, la roue subissait de telles contraintes qu’elle explosait littéralement au premier choc. Cette opération était le plus souvent réalisée chez le maréchal grossier, à ne pas confondre avec le maréchal ferrand. Le premier effectue des travaux de forge grossiers et imposant, tandis que l’occupation principale du second est de ferrer les chevaux.
Au final, la réalisation d’une charrette entière prenait une année complète, due au fait que la fabrication des roues s’étalait sur plusieurs saisons : fabrication en hiver et embattage en été, pour que le bois aie bien eu le temps de sécher. C’était un temps incompressible si l’on voulait obtenir un bon ouvrage, qui puisse tenir la distance et le temps.
1. nathalie21 le 30-03-2012 à 14:13:06 (site)
Kikou ma douce Holly!!!!
Ha ben je connaissais pas se métier la,donc j'apprend pas mal de choses en venant chez toi lol
belle aprés-midi ma douce amie ainsi k'un merveilleux week-end auprés de tes filles & de ton mari....Pleins de bibis doux....Nath & bisounours
2. nathalie21 le 30-03-2012 à 14:13:36 (site)
oupssss l'image n'a pas marcher grrrrrrr lol Nath & bisounours
3. anouchka028 le 30-03-2012 à 18:04:29 (site)
bonsoir trés joli ton article , j'espere que ton vendredi a eté bon ? pour nous calme on est allés voir mon frére , sur la beauce soleil et petit vent ,je te souhaite une bonne soirée et un bon samedi, amitié bisous anna
4. wolfe le 30-03-2012 à 19:22:36 (site)
Bonsoir!
J'ai été contente d'avoir de tes nouvelles!
Moi ça va, mais je sait pas trop ce que j'ai, je suis fatiguée tout le temps!
Bisous
5. nathalie21 le 31-03-2012 à 13:43:56 (site)
Kikou ma douce Holly!!!!!!
En ce dernier jour du mois je passe te souhaiter une belle aprés-midi de douceurs......
Ce matin il y avais pas de soleil mais la il est revenue lol mais il ne fais pas chaud.....
Pleins de bibis doux....Nath & bisounours
6. wolfe le 31-03-2012 à 19:47:02 (site)
Bonsoir!
Il y a aussi le fait que je dors très mal en ce moment!
Bisous
7. lafianceedusoleil le 31-03-2012 à 21:37:07 (site)
bonsoir Holly,
j'en ai appris des choses ce soir avec ton article. Il est fort intéressant.
Je ne connaissais pas. Merci ma jolie.
J'espère que tu te portes.
Douce fin de journée et gros bisouxxx
8. nathalie21 le 01-04-2012 à 14:02:03 (site)
Kikou Holly!!!!
Belle aprés-midi de Dimanche auprés de ceux ke tu aimes....Bibi doux....Nath & bisounours
9. wolfe le 02-04-2012 à 18:14:31 (site)
Bonsoir!
Non moi le changement d'heure ne me perturbe pas trop. Je dors un peu mieux en ce moment!
Bisous
Commentaires
1. 472481 le 10-04-2012 à 12:33:24
Bonjour Holly,
gris gris et pluie le temps de la journé pas cool du tout, mais la terre à soif.
Je te souhaite une douce et agréable journée.
Nanou
2. nathalie21 le 10-04-2012 à 20:50:41 (site)
Bonsoir ma douce Holly!!!!!!
Nous ossi on a passer un super week-end de pâques,pleins de chocolats lol j'en n'ai pour l'année lol
Ha ouai 15€uros le bureau hé ben c'est un peut cher kand même surtout si il était pas mal user....
Bonne soirée & tendre nuit mon amie!!!
Bibi doux....Nath & bisounours
3. nathalie21 le 11-04-2012 à 14:14:42 (site)
Kikou Holly!!!!!!
C'est avec un temps bien mitiger ke je passe te souhaiter une belle aprés-midi de Mercredi avec tes filles......
Pleins de bibis doux....Nath & bisounours